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jeudi 7 décembre 2017

"La jeunesse franco-algérienne est une chance. Elle veut faire."



Macron-tweet Alger 06.12.2017

 
C'est cela, oui, rengaine ta rengaine, Macron, le coup des "chances pour la France" on nous le fait depuis des lustres.
 
La vérité constatée sur le terrain est très différente.
A moins d'entendre "chance" dans le sens de "risque", comme  on dit "une chance sur trois de tomber malade" ?
Quant à la conclusion "Elle veut faire", celle-ci attire irrésistiblement la question "quoi ?" puisque FAIRE (d'après mes souvenirs de l'école primaire Carnot de Lens dans les années cinquante) est un verbe transitif direct appelant un complément d'objet sur lequel s'effectue l'action désignée par lui.
La connotation induite par cet emploi de FAIRE sans complément d'objet par le président de la République (époux d'une ex prof de lettres) ne peut que nous conduire à penser à la campagne d'information destinée aux maîtres de chiens ayant tendance (les chiens) à faire (caca) dans les rues n'importe où, qui affichait dans les rues avec l'image d'un chien tenu en laisse sur un trottoir : "Moi je fais où on me dit de faire".

Alors, cette jeunesse franco-algérienne cajolée par Macron, elle veut faire quoi ? Nous voulons le savoir avant l'irréversible immigration.
 
Faire du trafic de stupéfiant ?

Faire de la casse Gare du Nord ?

Faire des start-ups dans le domaine de l'intelligence artificielle ?

Faire semblant de chercher un emploi ?

Faire Saint-Cyr afin de devenir des officiers au service de la Nation ?

Faire sa prière du vendredi dans la rue devant la mairie de Clichy ?
 

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