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vendredi 21 août 2015

Quand les barbares de l’islam décapitent un savant au nom de la charia

          

Le 21/08/2015
Khaled al-Assaad a été décapité mardi, et son corps suspendu à une colonne au milieu d'une place de la ville dont il avait si bien conservé les merveilles architecturales gréco-romaines.
 
L’islam a retrouvé ses barbares historiques !
Depuis deux ans, nous sommes habitués à voir sur les réseaux sociaux ou sur nos téléviseurs les pires atrocités humaines.
Cela va du bébé qu’on dynamite pour un exercice, des chrétiens qu’on jette vivants dans un précipice, des soldats dont on expose la tête sur les grilles d’un parc en pleine ville, des petites filles qu’on étête au couteau, des pilotes qu’on décapite à la chaîne, des enfants qui exécutent au pistolet 30 otages dans le merveilleux théâtre de Palmyre, à des exécutions sommaires faites au nom de la charia.
Ces martyrs dont Mgr Dubost, évoquant les cloches du 15 août, a malencontreusement sur i>télé souligné qu’ils n’étaient pas souvent chrétiens, étaient jusqu’à présent de simples citoyens, des civils, des soldats, des officiers « ennemis » fidèles au régime du président Assad, des infidèles qui n’avaient pas payé la jizya (l’impôt obligatoire des mécréants).
 Et si le calife Al-Baghdadi avait ordonné que soient détruits les cités antiques de Nimrud, Ninive, Mossoul en Irak, les églises et plus de 50 mausolées contraires à la pensée wahhabite, il n’avait pas encore exécuté un savant connu et estimé dans le monde entier pour ses recherches et ses fonctions qui lui ont permis de diriger le site de Palmyre pendant 50 ans.
 Khaled al-Assaad a été décapité mardi, et son corps suspendu à une colonne au milieu d’une place de la ville dont il avait si bien conservé les merveilles architecturales gréco-romaines.
Ce savant de 82 ans était gardé en otage depuis la prise de la cité historique en mai dernier par l’État islamique.
 Ces mêmes barbares, que nos politiciens et journalistes désignent sous le nom pudique de Daech, avaient suspendu deux ados à un poteau pour ne pas avoir respecté le ramadan, il est vrai sans les décapiter…

On peut comprendre l’inquiétude des chrétiens libanais de la localité de Qaa à la frontière syrienne, dans la Bekaa, qui se retrouvent depuis le 18 août face aux djihadistes qui viennent d’envahir la ville syrienne frontalière de Qousseir.
La soldatesque des fous de Dieu menace donc désormais directement le Liban.
Obama, Hollande, Merkel vont-ils les laisser faire ?

 Car pendant que les pires horreurs ensanglantent Irak et Syrie, le monde occidental se contente de compter les coups, se rendant, comme je l’ai déjà écrit ici même, complice de ces crimes.
Pierre Gouverneur, lecteur de Médias-Presse-Info, se demande « comment il n’est pas possible d’éliminer une si petite armée… Le monde va-t-il les laisser prospérer comme, jadis, le nazisme, et attendre le chaos ? »

Ce malheureux vieillard aura payé de sa vie, après les pires tortures morales et physiques, le fait d’avoir voulu conserver pour l’humanité ces monuments rappelant qu’avant Mahomet, il existait d’autres civilisations et que, pour ces civilisations, enterrer nos morts sous des tombeaux ou des mausolées, c’était leur rendre hommage.

 Ce dont le Coran ne veut surtout pas !

Alors, pour respecter ce « saint Livre » à la lettre, on tue et on détruit.

 Jusqu’à quand ?

Quand tous les barbus coraniques de la terre seront-ils pourchassés, et à leur tour anéantis ?

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