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mercredi 26 novembre 2014

Barroso, Socrates et le scandale de nos élites euro-américaines…


barroso



Le 25 novembre 2014


   
Quand on a pris goût au strip-tease social, on ne renonce pas en chemin.


Quand on lui a demandé les raisons des discussions en secret de notre ignominieux traité de libre-échange avec les grosses boîtes américaines, Barroso (son nom veut dire boueux en portugais) a répondu qu’il ne fallait surtout pas tourner le dos à notre ami américain.
On sait que ce calamiteux traité laissera nos peuples encore plus nus face au grand capital ; car quand on a pris goût au strip-tease social, on ne renonce pas en chemin.
Oublions Wall Street et restons en Europe – et au Portugal, petit pays par la taille mais démesuré par ses ambitions mondialistes.
Ce royaume hauturier jadis, grand par sa culture et par son empire colonial, est devenu depuis une docile colonie yankee en Europe, à l’avant-garde de toutes les prises de position qui caractérisent la classe politique européenne.
Mais comment devenir un grand d’Europe (à Bruxelles ou dans une banque) ?
 C’est bien simple : en devenant un petit exécutant de l’Amérique.
Prenons l’exemple de deux énergumènes lusitaniens :

– Barroso « le boueux » : celui qui est resté dix ans au pouvoir à Bruxelles a commencé comme agitateur maoïste (donc antisoviétique).
Il part étudier à Genève puis à Georgetown, université où l’on forme les Young Leaders et les agents américains.
Il est repéré par Frank Carlucci et il est fait membre des Bilderberg dès 1994, à quarante ans à peine.
Ce scrupuleux agent soutient, avec le Premier ministre espagnol Aznar (devenu milliardaire par une autre série de scandales révélés par les médias allemands), l’invasion de l’Irak en 2004, avec Bush (déjà milliardaire) et Tony Blair (devenu multi, mais multimilliardaire).
 En ce moment, donc, il prépare la signature du traité de libre-échange atlantiste et la guerre contre la Russie avec Juncker, espion de l’OTAN, du MI5 et blanchisseur d’argent au Luxembourg…
Si seulement Hollywood s’inspirait de leur vie !
On espère le voir partir chez Goldman Sachs comme les anciens de la BCE ou le démentiel Sutherland.

– Socrates est, lui, la caricature de la fripouille socialiste qui ruine le continent européen depuis un siècle et demi (relisez Robert Michels ou Georges Sorel pour vous consoler).
 Il a fait rentrer son pays dans l’euro, l’a ruiné, l’a pourri d’impôts pour le punir de ses erreurs, et enfin il a collectionné les affaires louches et familiales.
Rien que de très classique au royaume des Ubu roses !
Actuellement, Socrates est poursuivi par des scandales que la presse et les juges se dépêcheront d’oublier : encore des scandales, murmure une opinion fangeuse !
Oui, encore des scandales ; on sait qu’ils renforcent le pouvoir et font enfin lire les journaux, alors on peut en avoir !
Argent et sexe : il est important de noter que ces politiques se précipitèrent pour adopter les mesures comme l’avortement (vive le bon remplacement !) et le mariage homo (no comment!).

On comprend mieux nos socialistes : ils sont des clones agités par le même marionnettiste.

 Et qu’on Oz me contredire !

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