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samedi 13 juillet 2013

Marseille: l'Europride fait un bide.

 
Echec et bientôt mat pour cette manifestation des lobbies gays qui, bien que véritables coquilles vides n'intéressant personne, avaient pourtant réussi à drainer des subventions très importantes, dont 100 000€ de la mairie :
""On a travaillé comme des forcenés pour mettre en place ce village et aujourd'hui nous sommes effondrés parce qu'il n'y a pas de monde. La communication qui devait être assurée par la Lesbian and gay pride n'a pas été faite et c'est une honte", a estimé Stany Marle, le responsable de la production sur la plage du Prado sud, par ailleurs directeur de l'association Marseille médiateur, au lendemain des deux premières soirées où l'on n'a pas dénombré plus de 500 personnes.

Alors que le village peut en accueillir plus de 10 000. "Nous sommes des exécutants loyaux mais eux ne l'ont pas été parce qu'ils n'ont pas fait leur boulot", ajoute-t-il en espérant "avoir perdu une bataille mais pas la guerre." Un DJ de la scène marseillaise bien renseigné tient une explication : "ça ne se remplit pas et ils sont sur les nerfs, mais tout a été fait à la va-vite. Il y a en plus une concurrence sur les plages avec d'autres fêtes." Organisé sur les mêmes dates à proximité immédiate du Beach club, l'événement "Marseille on the beach", pourtant payant, attire les foules".
Les artistes fuient cette mascarade pour ne pas être assimilés à ce fiasco :
"Surprise totale hier après-midi lorsque le festival Get a Kool, greffé à l'Europride au Dock des suds, annonce l'annulation de sa troisième soirée lors de laquelle devaient se produire des artistes comme Miss Kittin, Olivier Huntemann ou encore Chloé".

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